EDITO

Qui c’est qui gouverne ?

Après le 20 janvier et le 5 février, la forte mobilisation unitaire public/privé du 10 mars sur la question du pouvoir d’achat a réussi à faire reculer le gouvernement sur la question des salaires, notamment ceux des fonctionnaires, alors qu’hier encore tout était verrouillé, aucune marge de manœuvre ne lui était soi-disant possible.
Les réponses sont, certes, loin d’être suffisantes mais le rapport de force qui s’est instauré et qui continue à grandir dans différentes entreprises a fait fleurir les négociations dans de nombreux endroits. Après des mois de surdité sur la question des salaires, le ministre de la Fonction Publique, Renaud Dutreil, a finalement décidé de montrer l’exemple et a convoqué celles-ci le 22 puis le 29 mars. Une nouvelle réunion a eu lieu le 5 avril. Les syndicats ont réussi, pour l’instant, à découpler le débat sur la « modernisation » de la Fonction Publique (avec notamment le projet de diminuer le nombre de corps), ainsi qu’à obtenir un accord annuel et non bi-annuel. Pour 2006, il faudra donc se revoir, afin de mieux prendre en compte les évolutions et se concentrer, pour l’heure, sur 2005 et le contentieux 2000-2004. En plus des 0,5% d’augmentation de la valeur du point en deux fois déjà actés, les négociations en sont pour l’instant à 0,8% supplémentaires (0,5 au 1er juillet, 0,3 au 1er novembre) soit, d’ores et déjà, une augmentation qui suit celle prévue du coût de la vie. Pour cette année, et pour la première fois depuis de nombreuses années, c’est donc la perte du pouvoir d’achat des fonctionnaires qui devrait être gelée et non plus leurs salaires. C’est une première victoire, et pas des moindres. Reste maintenant la question du contentieux accumulé sur la période 2000-2004 (5%), celle des mesures concernant les bas salaires et de la refonte de la grille indiciaire.
Preuve éclatante est faite, en tous les cas, pour ceux qui en douteraient encore, que c’est bien la mobilisation de tous qui porte et fait aboutir les revendications.

SOMMAIRE
1/ Visite CHS de la Grange du Mail le 14 avril 2005
2/ Visite CHS à la base vie le vendredi 11 mars 2005
3/ Les temps forts du Conseil d’Administration du 31 mars 2005
4/ Composition de la délégation CGT aux commissions de l’EPV


1/ Visite CHS de la Grange du Mail du 14 avril 2005
Locaux techniques du service des jardins de Versailles

A noter encore une fois : l’inadmissible absence de l’Administrateur Général, Mr Tardieu, de son délégué, Mr Godderidge, ainsi que du Maître d’Oeuvre du chantier, Mr Errath. Pour une visite de locaux du personnel entièrement neufs, le Schadov-CGT s’attendait à un meilleur accueil, surtout lorsqu’il s’agit des principaux responsables !

La Grange du Mail est un gros chantier de construction et de rénovation de parties historiques attendu par le service des jardins depuis de nombreuses années ; le site comprend plusieurs parties effectuées en tranches successives (de bas en haut) :

 Tout d’abord, les vestiaires du personnel titulaire et non-titulaire : un vestiaire pour les femmes repris dans l’ancien bâtiment de garde (10 pers.), et un local neuf « moderne » regroupant réfectoire et vestiaires hommes (20 pers.).

 Une station carburants et une station de lavage nouvellement construits, ainsi que la reprise d’anciens abris.

 Un hangar dit « agricole » complètement neuf pour le rangement du gros matériel du service (micro-tracteurs, chargeurs, tondeuses, …)

 Un local pour le petit matériel (réhabilitation d’un ancien abri)

 Un local phytosanitaire (non réalisé)

 Un nouveau local pour le personnel, salle de réunion et vestiaires (non réalisé)
A noter que la réception du chantier a été faite (avec réserves jusqu’à fin … avril).

Les vestiaires :

1) Les vestiaires « femme » ; première remarque : le chauffage ne fonctionne pas ! l’architecte admet qu’il est bien insuffisant et fera rajouter un radiateur rayonnant. La douche n’est pas fonctionnelle : un radiateur électrique à l’intérieur (bien qu’aux normes) attire l’attention des représentants du service sécurité ; pas d’anti-dérapant sur le sol carrelé, pas de rideau, pas de porte serviette. Les armoires vestiaires commandées sont trop petites (illusion sur le catalogue) : bien qu’ayant deux parties (propre/sale), le mobilier n’est pas adapté au personnel travaillant à l’extérieur.

2) Le réfectoire comprenant une cuisine : bien que prévu pour 20 personnes, la taille de la pièce semble restreinte pour accueillir le personnel, surtout en forte saison où le nombre de vacataires saisonniers double le nombre d’agents.
Le chef de service signale que l’espace « cuisine » en est réduit au plus simple (évier sans carrelage, 2 plaques électriques, un petit frigo et un micro-ondes) : le mobilier n’étant pas adapté à l’effectif, il s’engage à réviser entièrement l’espace.
Les portes fenêtres de la pièce (exposées plein sud) n’ont pas de protection solaire, plusieurs représentants du personnel craignent une forte chaleur lors des journées les plus ensoleillées. Un élément de treillage est pourtant prévu pour un rosier grimpant à l’extérieur.
Le système de détection incendie (demandé par le service sécurité mais non obligatoire) ne semble pas adapté à l’utilisation de la pièce lié notamment par la présence des plaques chauffantes ; les problèmes du report de la détection et de son raccordement au réseau de l’établissement se sont posés : rien n’avait été prévu et les représentants de l’administration ont découvert l’anomalie … chapeau !

3) Les vestiaires « homme » : les douches ne sont pas terminées, il manque les portes ! On a constaté que la ventilation est beaucoup trop faible, voire inexistante pour un espace n’ayant pas de fenêtres qui s’ouvrent.
La porte d’entrée des locaux n’est pas adaptée pour le passage de personnes handicapés, la porte toute neuve sera donc remplacée suite à cet « oubli » de l’architecte. De superbes sanitaires pour les personnes à mobilité réduite ont pourtant été installés.

L’extérieur des locaux :

L’allée pavée traversant tout le site a été entièrement refaite (sauf la partie haute), malgré toute l’attention portée par le maître d’œuvre (engendrant retards et coûts supplémentaires), l’assise en sable de cette allée n’est pas adaptée pour un site technique, plusieurs pavés s’enfoncent et se décalent déjà !

L’emplacement pour le local de la badgeuse a été prévu, mais pas l’abris ! Une caisse ayant servie à « Versailles off » sert provisoirement de protection pour la machine. Le local protégé est prévu.

De même pour la pompe à carburants, l’élément moderne et sophistiqué n’a pas d’abri, pourtant prévu dans le projet ! Sur le même emplacement, la dalle sert au lavage des engins ; l’ensemble est bien équipé de regards avec bac de récupérations des huiles. Cet espace n’a pas d’éclairage de nuit…

Le local pour vélos : absent, le devis serait en cours alors qu’il était prévu dans le chantier !

On ne peut constater que le mur historique n’a pas été rénové, pourtant, une partie a été rajoutée sur une trentaine de mètres de longueur afin de cacher le bâtiment moderne : en effet, les architectes ont découvert, juste avant le début des travaux, que le haut du mur d’enceinte (côté Mail) n’était pas de niveau, ils ont donc préféré sacrifier cet élément architectural datant de Le Nôtre en le rehaussant de 0 à 80cm afin de masquer le bâtiment tout neuf (au lieu de baisser le niveau du futur bâtiment par exemple). Ce mur est désormais le seul mur visible depuis les jardins !! (il n’est plus caché par les haies)
Quelle honte pour la conservation architecturale de notre domaine !!
L’adjoint au chef du service de la conservation nous signale tout de même qu’il sera entièrement restauré ainsi que le petit pavillon servant jusqu’à présent de local phytosanitaire ; il serait grand temps, des morceaux du toit sont tombés durant les travaux !

Le hangar agricole :

Premier point noir : les portes coulissantes ; nous avons constaté que les portes du hangar sont horriblement lourdes à ouvrir et à fermer, sans aucune poignée, au risque de se couper à la tôle rajoutée après le chantier ou de s’écraser les doigts. De plus, des clous servant à tenir la tôle de protection extérieure de la porte s’enfuient déjà ! L’administration propose de revoir le système de roulement des portes pour faciliter l’ouverture.
Autre point, l’éclairage : le hangar est éclairé par des lampes à sodium donc nécessitant un temps de préchauffage et très consommatrices en énergie ; l’allumage se faisant sur l’intégralité de la surface, il n’y a pas de moyen de sectoriser l’éclairage. Nous signalons que les lampes sont aussi mal positionnées : en effet, lorsque qu’un agent voudra intervenir sur un tracteur ou chargeur, l’illumination du lieu sera réduite car le luminaire sera caché par la cabine.
Le sol du hangar est totalement bétonné, sans protection adéquate contre la poussière du béton lui même, ni protégé contre les huiles. Aucun extincteur n’a été vu.
L’intégralité de la façade (donc les portes) a été réalisé en châtaigner, et n’a donc pas nécessité de traitement du bois… combien d’années cela va-t-il tenir ?

Un local de magasinage a été aménagé par le service après la restauration de la toiture d’un vieil abri ; y sont rangés outils et divers matériels à main.
Les travaux du local phytosanitaire n’ont toujours pas été engagés ; ce point important sera programmé prochainement compte tenu de l’état du local actuel. Il sera aménagé dans une pièce fermée, à côté du local de magasinage.

Locaux « orangerie » :

Il s’agit de la dernière partie des travaux. Pour le moment, rien n’a été fait et rien ne semble être programmé malgré le permis de construire obtenu pour l’ensemble du chantier ; les crédits de l’établissement semblent s’affaiblir !

Comme partout sur le site, on voit que d’un côté les architectes n’hésitent pas à mettre des moyens dits de « luxe » comme les toits en cuivre (certes discrets, mais 4 fois plus cher que de l’ardoise, élément à plus grande valeur patrimoniale), alors que d’un autre côté l’EPA n’arrive pas à créditer l’ensemble des opérations, laissant des vides !

Suite et grâce à cette visite (comme par enchantement !), un grand nombre de dysfonctionnements non négligeables ont été détectés et nous nous demandons comment l’administration aurait pu s’en rendre compte si le Schadov-CGT n’avait pas fait la demande de cette visite CHS. S’en suivront de nombreuses dépenses de fonctionnement qui vont donc s’ajouter aux diverses opérations de « réajustement » non programmées, suite à des sous-estimations de l’architecte et un suivi trop maigre du chantier.

C’est bien dommage pour une réalisation de ce type.

On se demande de quel côté l’établissement cherche à faire des économies !!


2/ Compte rendu de la visite CHS à la base vie le vendredi 11 mars 2005

Précisons avant tout, mais est-ce bien nécessaire, que cette visite CHS se tient à la demande du SCHADOV-CGT.

Précédemment destinée au PCS et au service de sécurité, la « base vie » a été une fois encore modifiée pour accueillir l’encadrement du service des droits d’entrée ainsi que la cellule billetterie. Une salle destinée aux ateliers organisés par le service culturel y sera aussi à disposition.

Les problèmes majeurs qui ressortent de cet aménagement sont que l’on ne peut accueillir de public en l’état, sachant la dangerosité d’accès par la place Gambetta ainsi que du côté de la cour où l’on trouve une porte de sortie de secours qui a la malencontreuse idée de se refermer violemment à la tête des personnes empruntant cette issue… Il est clair que la DGP ne pourra pas se servir de cette salle sans adapter les issues ainsi que leurs abords (Place Gambetta notamment, où la circulation est plus que dangereuse !). Quoi qu’il en soit, l’accueil de public dans cet espace ne peut pas être organisé dans les circonstances actuelles.

D’autre part, une cuisine attenante à cette salle semble gêner le directeur de la DGP qui souhaite d’emblée l’éliminer. En effet cela permettrait d’une part d’accroître sensiblement le nombre de personnes à accueillir (notamment des groupes scolaires), et d’autre part de créer un éclairage direct puisque pour l’instant cette salle est aveugle… La CGT s’est bien évidemment opposée à toute décision unilatérale de la part des responsables de cette direction, puisque certains personnel ont l’utilité de cette cuisine, nous avons demandé de faire un sondage auprès du personnel concerné avant de refaire des travaux qui ne sont pas forcément nécessaires.

Affaire à suivre, donc, puisque si quelques travaux peuvent être faits dans l’immédiat, d’autres engagent la responsabilité de la Ville de Versailles (pour ce qui concerne la circulation de la place Gambetta). Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de la suite de cette visite CHS.

Visite CHS , la suite : à l’heure où nous écrivons ces lignes, le sondage prévu a soi-disant été mené de manière ultra-démocratique : l’encadrement a même posé la question de l’utilité de cette cuisine à des agents nullement concernés par l’utilisation de cet espace !… Encore une preuve que l’administration manipule les avis de chacun de manière à être toujours gagnante… ne rêvons pas : toujours pas de dialogue avec les personnels, mais l’entêtement de quelques chefs de service qui se croient tout permis pour accéder à leurs désirs aux dépends des personnels, bien sûr !


3/ Les temps forts du Conseil d’administration du 31 mars 2005

Notons que c’est le premier Conseil d’administration qui se tient depuis la création de l’Etablissement Public de Versailles où 3 représentants du personnel siègent au lieu de 2, après la modification du décret concernant les élections au Conseil d’administration adopté l’année dernière. Il n’en reste pas moins que nous avons dénoncé, face à l’administration et devant la DAG, la DMF ainsi que la DAPA, la quasi-absence de dialogue social sur le site, même si la direction persiste à considérer que c’est déjà bien tel quel !…
En préalable, la Présidente indique le vote « historique » par l’Assemblée Nationale d’une loi réattribuant tous les espaces qui leur appartient à l’Etat, et donc par voie de conséquence à l’Etablissement Public de Versailles. Il est clair qu’il s’agit d’ une chance « historique », mais pour notre part, l’inquiétude grandit : qu’en advient-il des personnels travaillant pour le Musée du Parlement ? Ce Musée fermera-t-il ? Et quelles seront les priorités d’aménagement des 25 000 m2 d’espaces ainsi récupérés ? Hormis le fait certain (puisque c’est inscrit dans la loi) qu’aucun de ces espaces ne sera alloué en tant qu’appartement de fonction, tout reste à faire…
Nous avons aussi soulevé le problème de la mise en place du Schéma directeur : la somme budgétée dans un premier temps par le Ministère de la Culture ne prenait pas en compte cet événement de taille ! A l’évidence, le SCHADOV-CGT sera extrêmement vigilant sur les conséquences d’une telle décision.
Le point qui suscite des débats est le projet que forme la direction pour le 1er Juillet 2006 d’ouvrir plusieurs circuits de visite :

 1 circuit « royal » englobant les 3 « essentiels » du Château (Galerie des Glaces, Chambres du Roi et de la Reine)

 1 circuit des appartements de Mesdames

 1 circuit des appartements du Dauphin et de la Dauphine

 1 circuit des appartements intérieurs du Roi

 1 circuit de l’aile nord comprenant la Chapelle, le parterre de l’Opéra et les salles du XVIIe

 1 circuit dit « du XIXe » : salle du Sacre, Galerie des Batailles et Salle 1830

 1 circuit « Marie-Antoinette » incluant le Petit Trianon et sa périphérie (à savoir communs de Trianon, Chapelle, glacières, Pavillon français, etc.), le Hameau de la Reine ainsi que le Jardin Anglais. Le tout serait entouré de palissades et deviendrait payant.

Dans cette perspective, il n’existerait plus que des billets « passeports » et « passeports restreints » pour les visiteurs qui ne souhaitent pas voir la totalité du Site. L’accès aux jardins redeviendra gratuit dès l’année prochaine en laissant quelques bosquets ouverts (tels l’Encelade, les bains d’Apollon ou encore les trois fontaines…).
Le SCHADOV-CGT a estimé que ce projet d’ouvrir simultanément tous ces espaces était totalement utopique, puisqu’à l’heure actuelle, le Musée n’ouvre même pas dans sa totalité ! Qui plus est, il n’est pas logique d’anticiper les transformations du schéma directeur avant la mise en place de la Grille Royale qui permettrait déjà une bien meilleure gestion des flux. D’autre part, l’initiative de fermer la porte D a été vivement contestée à plusieurs reprises : il nous a été répondu que ce n’était pas définitif et qu’il s’agissait d’un « essai ». On jugera de l’opportunité d’un « essai » de cet ordre là à l’ouverture de la haute saison !…
Le SCHADOV-CGT n’en a pas moins dénoncé l’absence d’accueil digne de ce nom à Versailles, et le fait que les agents quels qu’ils soient ont un sentiment de honte face aux visiteurs ( allez expliquer que pour une visite conférence, le visiteur doit aller réserver au point I, puis payer à B2, pour avoir un rendez-vous de départ porte F !).
Gageons que la direction de l’EPV prendra ses responsabilités devant le mécontentement général : aussi bien celui des visiteurs que celui des personnels !( Il nous a été promis que des groupes de travail « organisations syndicales/administration » se réuniront en amont.)
Pour ce qui est du rapport d’activité 2004 évoqué lors de cette séance, le SCHADOV-CGT a relevé plusieurs erreurs, dont l’une reste révélatrice du manque d’intérêt pour ne pas dire du mépris de la direction pour celui du pseudo « dialogue social » : les résultats du référendum affichaient le même tableau pour 2000 et 2003… Affligeant !!! Les représentants du SCHADOV-CGT se tiennent à votre disposition pour vous tenir au courant de l’évolution de la situation dans ce contexte difficile.


COMPOSITION de la DELEGATION SCHADOV-CGT
dans les DIFFERENTES COMMISSIONS de l’EPAV
pour l’ANNEE 2005

Comité Technique Paritaire

TITULAIRES SUPPLEANTS
LAVIGNE Christelle DOUSSINAUD Philomène
VAN LICHTERVELDE Kévin DEMIL Claude
BERC Jacques ACQUAVIVA Françoise
LOLLO Virginie MILET Christian
NOURY Catherine NOEL André
TAMBON Hubert MORIN Jean
BERC Monique AVEZARD Marie-Claude

Comité Hygiène et Sécurité

TITULAIRES SUPPLEANTS
LAVIGNE Christelle BERC Monique
VAN LICHTERVELDE Kévin DEMIL Claude
BERC Jacques NOEL André
LOLLO Virginie OZON Patricia
NOURY Catherine ROSSIGNOL Jean Pierre
TAMBON Hubert EMMANUELLI Ghislain

Commission d’Habillement

TITULAIRES SUPPLEANTS
LAVIGNE Christelle DOUSSINAUD Philomène
VAN LICHTERVELDE Kévin DEMIL Claude
BERC Monique ACQUAVIVA Françoise
NOURY Catherine BERC Jacques
TAMBON Hubert AGBOTON Edwige
ROSSIGNOL Jean Pierre LOLLO Virginie

Commission de Logement

TITULAIRES SUPPLEANTS
LAVIGNE Christelle DOUSSINAUD Philomène
VAN LICHTERVELDE Kévin DEMIL Claude
BERC Monique BERC Jacques
NOURY Catherine AGBOTON Edwige
TAMBON Hubert LOLLO Virginie
MORIN Jean MILET Christian

Conseil d’Administration

TITULAIRES SUPPLEANTS
GREBOVAL Gilles VAN LICHTERVELDE Kévin
LAVIGNE Christelle NOURY Catherine

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