Sommaire:

-édito: les tontons flingueurs de l’Inrap

-Nouvelle D.G. 73 (optima climatiques) = une casse des personnels programmée.

-Règlement d’utilisation des véhicules : quand l’Inrap pète une durite.

-Règlement d’utilisation des véhicules : ne signons pas n’importe quoi!

-Droit de retrait et droit d’alerte.

EDITO: Les tontons flingueurs de l’Inrap

A votre santé… ou plutôt à ce qui va en rester.
Les ci-devant président et directeur général délégué de l’Inrap nous donnent de plus en plus le sentiment d’être dans un scénario à la Georges Lautner, même si la gouaille y est ici en moins, que l’humour y est plus rare et le talent plus discret. Dans tous les cas, on dirait qu’ils cherchent vraiment à nous foutre dans une « béchamel infernale ».

Que leur job induise des comportements mâtinés de défiance et de nervosité à l’endroit de tout ce qui fait sortir du grisbi de l’Institut est une chose, mais lorsque l’exigence d’une gestion saine laisse la place à la chasse obsessionnelle de la moindre thune qui sort, on risque vite d’avoir des résultats contraires aux objectifs qu’on s’est soi-même fixé.
Malheureusement pour nous, tout se passe comme si la tête de l’Institut était passée du pathétique au pathologique, tant nos deux dirigeants semblent souffrir d’un mal profond : chaque centime d’euro qui sort de l’Institut, même pour les meilleures raisons du monde, leur fout la migraine, les nuits blanches et le « nervous breakdown ».

On attaque l’os !
Alors voilà nos deux compères prêts à tout oser pour chasser la dépense avec la frénésie, l’enthousiasme et la détermination du chaton de trois mois poursuivant le cercle lumineux mû par la lampe torche sur le sol, le mur, le plafond, le plafond, le mur, le sol…
Le spectacle de leur vaine gesticulation Harpagonesque pourrait presque être drôle, voire même touchant, si ce n’est qu’à force de vouloir tout dynamiter, disperser, ventiler sans discernement, on finit par toucher les organes vitaux.
Conditions climatiques, conditions de déplacement, utilisations des véhicules, économies hôtelières… tout est bon pour gratter l’oseille quitte à faire de l’Inrap un absurdistan de l’organisation du travail, quitte à « éparpiller façon puzzle » la santé des personnels.

Seulement voilà, ces mêmes personnels en ont assez d’être pris pour des caves et ils sauront réagir comme ils l’ont déjà fait pour changer le scénario, sans peut être jamais obtenir l’oscar, mais en évitant que l’Inrap ne devienne ce navet qu’on veut leur faire jouer.

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